Il oppose Rhonda, américaine âgée de vingt six ans, championne du monde, invaincue en dix huit combats. Elle est opposée à Amanda, une jeune brésilienne de vingt deux ans, qui n'a à son actif, une seule victoire en cinq confrontations. Autant dire que l'issue du combat ne fait aucun doute. Les deux lutteuses sont simplement vêtues d'un maillot et d'un soutien gorge. L'américaine est très belle, la brésilienne est un peu plus enveloppée.

La salle est surchauffée, Le public acquis à la cause de la tenante du titre. Rhonda saute devant son adversaire, la nargue pour la déstabiliser.

Les premiers échanges sont équilibrés, même si Rhonda reste sereine. mais petit à petit, la jeune brésilienne prend de l'assurance, malmène la tenante du titre. Sur un corps à corps, Amanda lui arrache même son soutien gorge. Pour se protéger, Rhonda fait un demi tour. Amanda en profite pour la prendre par la taille, lui prenant les seins, tirant sur les bouts. Elle glisse une main dans le maillot, pince les lèvres intimes, ce qui à pour effet d'arracher des cris de douleur à la belle américaine. Elle est in extrémis sauvée par le gong.

La deuxième reprise ne s'annonce pas sous les meilleurs hospices pour la tenante du titre. Amanda continue à porter des coups fatal à son adversaire. le maillot est en partie arraché, laissant apparaitre la fente épilée. En effet, sur un placage au sol, Amanda arrache la culotte de Rhonda, qui se retrouve entièrement nue. L'américaine parvient à se libérer, mais reste vulnérable. La jeune brésilienne la regarde en souriant, faisant bouger ses doigts, comme pour lui dire qu'elle allait s'occuper de sa chatte. Elle fait même tourner son majeur sur son pouce, pour simuler ce qu'elle allait faire à son clitoris,une fois qu'elle l'aurait décalotté.

La troisième reprise risque d'être fatale pour la tenante du titre, déstabilisée et sans protection. elle sait l'humiliation qu'elle peut subir, l'ayant faite subir elle même à ses adversaire, leur branlant la chatte, les doigtant, les faisant jouir trois ou quatre fois par combat. Du reste, elle détient le record, avec cinq orgasmes infligés à une lutteuse.

C'est le sort que lui réserve cette jeune brésilienne, assoiffée de victoire, et qui aimerai faire chuter la championne du monde, et pulvériser son record, l'inscrire à son maigre palmarès en l'humiliant devant tous ses supporters.

Rhonda semble refuser le combat, fuyant son adversaire. mais la brésilienne parvient à la coincer dans un angle de la cage. Elle la bloque d'une main. L'américaine porte ses mains à son cou pour desserrer l'étreinte. De sa main libre, Amanda empoigne la chatte, la pénètre de deux doigts. Rhonda bloque le passage en serrant les cuisses, mais à l'intérieur, les doigts touchent les points sensibles, et la tenante du titre sent le désir monter en elle. Petit à petit, elle s'abandonne, desserre l'étau, pour mieux se faire pénétrer.

-T'aimes ça, dit Amanda, dis le...fort que tout le monde l'entende.

-Oui, j'aime ça...c'est bon de se faire branler.

La jeune brésilienne stoppe ses mouvements. C'est Rhonda elle même, qui envoie de violents coups de rein sur les doigts qui la baisent. Amanda n'en a rien à faire, si ce n'est constater son oeuvre. soudain, la belle américaine se pend au cou de son adversaire, et atteint l'orgasme...il est terrible.

-Oh oui...je jouis...a toi, continues s'il te plait...oui...oui...

Amanda retire ses doigts. Rhonda tombe à genoux, juste au moment ou le gong sonne la fin de la reprise. Epuisée, elle s'assied dans son coin, ou son entraineur lui conseille d'arrêter.

-Quoi, mais tu n'y penses pas, c'est un accident. Tu vas voir la raclée que je vais lui mettre. Je vais lui arracher le clito à cette connasse, tremper mes doigts dans sa chatte.

Hélas pour Rhonda, les rounds se suivent et se ressemblent. On dirait un pantin entre les mains de la lutteuse brésilienne, qui lui met de sévères roustes. Les lèvres de sa chatte sont enfles, à f o rc e de prendre des coups. On dirait un gros abricot. Le clitoris n'est pas épargné. On dirait une petite quéquette, tellement Amanda lui a tiré dessus. la brésilienne joue avec les parties intimes de l'américaine, Ses doigts passent le plus clair de leur temps à branler la chatte ou le petit trous de la championne déchue.

C'est là qu'elle déclenche le huitième orgasme. Ca y est, le record est battu, pulvérisé mais Amanda en veut plus. Elle oblige Rhonda à se mettre à quatre pattes, lui fait faire le tour de la cage en la tirant par sa queue de cheval. Elle passe devant les spectateurs, notamment une jeune black, que la lutteuse américaine avait humiliée lors d'un combat. Amanda a compris, ordonne à Rhonda de se lever.

-Tu te souviens ce que tu as fait à mon petit bouton, sourit la jeune black, comme tu le l'as décalotté, doigté. C'est mon tour aujourd'hui.

Soumise, Rhonda ne peut qu'accepter. Là encore, elle atteint l'orgasme sur les doigts de la jeune black. Hélas, celui-ci ne sera pas comptabilisé.

Le combat tire à sa fin. Rhonda, épuisée, git au pied de la nouvelle championne du monde.

Les spectateurs, debout, acclame la nouvelle tenante du titre.

le lendemain, les médias se délecte de cette défaite. Les télés passent des extraits du combat. Les plus chauds et humiliant passent en boucle.

Celui par exemple ou la belle américaine est allongée au sol, jambes écartées. la jeune brésilienne, penchée sur elle, lui a décalotté le clitoris devenu énorme, et le doigte violemment. Elle s'arrête d'un coup, se relève et contemple son oeuvre. Elle rit quand elle voit le corps de son adversaire se tordre comme un serpent, quand elle jouit en hurlant de plaisir. Un autre extrait montre Rhonda se branler elle même sur les doigts de la jeune brésilienne, et atteindre un orgasme terrible.

Les photos sont aussi humiliantes. Elles montrent Rhonda se faire gouiner dans toutes les positions. On voit Amanda mettre deux doigts dans la chatte et un dans le cul de la belle américaine, ou encore lui mettre une fessée.

Humiliée, Rhonda ne se présente pas à la traditionnelle conférence de presse.

Quant à Amanda, elle se dit prête à accorder une revanche à la belle américaine.

"je me suis tellement bien amusée avec elle, dit-elle en souriant"